The Other Gods roman le livre pdf

Il était un écrivain américain de science-fiction et d'histoires d'horreur, surtout connu pour sa créativité. Né à Providence, Rhode Island, Lovecraft a passé la majeure partie de sa vie en Nouvelle-Angleterre. Il est né riche, mais sa fortune familiale a été gaspillée peu de temps après la mort de son grand-père. En 1913, il a écrit une lettre critique au magazine Pulp qui l'a finalement conduit à co-écrire le roman de Pulp. Pendant l'entre-deux-guerres, il a écrit et publié des histoires axées sur son interprétation de la place de l'humanité dans l'univers. Selon lui, l'humanité n'était qu'une infime partie d'un univers indifférent qui pouvait être emporté à tout instant. Ces histoires comprenaient également des éléments fascinants qui représentent la fragilité perçue de l'anthropocentrisme. Lovecraft a rejoint le petit club de lecture "Kalem" lorsqu'il a déménagé pour la première fois à New York, et est devenu plus tard le centre d'un groupe plus large d'auteurs connu sous le nom de "Lovecraft Circle". Ce groupe a souvent écrit des histoires qui partagent des détails les uns avec les autres. C'était un écrivain prolifique. Il a entretenu une correspondance avec de nombreux auteurs et conservateurs littéraires différents. Selon certaines estimations, il a écrit près de 100 000 lettres au cours de sa vie. Dans ces lettres, il discutait de sa vision du monde et de sa vie quotidienne, et enseignait à de jeunes auteurs, tels qu'August Derleth, Donald Wanderer et Robert Bloch.

The Other Gods livre pdf lu et roman par Howard Phillips Lovecraft

On top of the highest peaks of the earth dwell the gods of the earth, and they do not suffer that man has looked at them. the smaller peaks they once inhabited; But all the men of the plains climbed the slopes of rocks and snows, and led the gods to higher and higher mountains so far only the last remains. When they left their ancient peaks they took with them all their signs, except once, it is said, when they left an image carved on the face of the mountain they called it Najranik. Man tramples, becomes strict, and has no higher peak to escape the coming of men. They have become strict, and where they once suffered from their displacement, now they forbid men to come; Or coming, to leave. It is good for men that they do not know kadat in the cold. Otherwise, they would wisely seek to expand it.