Why Society is a Complex Matter pdf

Philip Ball est un rédacteur scientifique indépendant. Il a travaillé auparavant chez Nature pendant plus de 20 ans, d'abord en tant qu'éditeur pour les sciences physiques (pour lesquelles son mandat s'étendait de la biochimie à la physique quantique et à la science des matériaux) puis en tant qu'éditeur consultant. Ses écrits sur la science pour la presse populaire ont couvert des questions d'actualité allant de la cosmologie à l'avenir de la biologie moléculaire. Philip est l'auteur de nombreux livres populaires sur la science, notamment des ouvrages sur la nature de l'eau, la formation de motifs dans le monde naturel, la couleur dans l'art, la science de la philosophie sociale et politique, la cognition de la musique et la physique dans l'Allemagne nazie. Il a beaucoup écrit sur les interactions entre l'art et la science et a donné des conférences à des publics scientifiques et généraux dans des lieux allant du Victoria and Albert Museum (Londres) au NASA Ames Research Center, au National Theatre de Londres et à la London School of Economics. Philip continue d'écrire régulièrement pour Nature. Il a contribué à des publications allant du New Scientist au New York Times, au Guardian, au Financial Times et au New Statesman. Il est rédacteur en chef du magazine Prospect (pour lequel il écrit un blog scientifique), et également chroniqueur pour Chemistry World, Nature Materials et le magazine scientifique italien Sapere. Il a diffusé à de nombreuses reprises à la radio et à la télévision, et est présentateur de "Science Stories" sur BBC Radio 4. Il est membre de la Royal Society of Chemistry, siège au comité de rédaction de Chemistry World and Interdiscipinary Science Reviews, et est membre du conseil d'administration du réseau RESOLV sur la science de la solvatation à l'Université de la Ruhr à Bochum. Philip est titulaire d'un BA en chimie de l'Université d'Oxford et d'un doctorat en physique de l'Université de Bristol. Philip Ball est écrivain. La plupart de ses livres traitent de la science sous une forme ou une autre : son histoire, ses interactions avec les arts et la société, ses réalisations, ses délices et ses détours. Il est chroniqueur régulier pour plusieurs magazines et occasionnellement présentateur et animateur de radio. Il a été rédacteur en chef de Nature pendant de nombreuses années et, il y a longtemps, chimiste et physicien en quelque sorte.

Why Society is a Complex Matter pdf par Philip Ball

Society is complicated. But this book argues that this does not place it beyond the reach of a science that can help to explain and perhaps even to predict social behaviour. As a system made up of many interacting agents – people, groups, institutions and governments, as well as physical and technological structures such as roads and computer networks – society can be regarded as a complex system. In recent years, scientists have made great progress in understanding how such complex systems operate, ranging from animal populations to earthquakes and weather. These systems show behaviours that cannot be predicted or intuited by focusing on the individual components, but which emerge spontaneously as a consequence of their interactions: they are said to be ‘self-organized’. Attempts to direct or manage such emergent properties generally reveal that ‘top-down’ approaches, which try to dictate a particular outcome, are ineffectual, and that what is needed instead is a ‘bottom-up’ approach that aims to guide self-organization towards desirable states. This book shows how some of these ideas from the science of complexity can be applied to the study and management of social phenomena, including traffic flow, economic markets, opinion formation and the growth and structure of cities. Building on these successes, the book argues that the complex-systems view of the social sciences has now matured sufficiently for it to be possible, desirable and perhaps essential to attempt a grander objective: to integrate these efforts into a unified scheme for studying, understanding and ultimately predicting what happens in the world we have made. Such a scheme would require the mobilization and collaboration of many different research communities, and would allow society and its interactions with the physical environment to be explored through realistic models and large-scale data collection and analysis. It should enable us to find new and effective solutions to major global problems such as conflict, disease, financial instability, environmental despoliation and poverty, while avoiding unintended policy consequences. It could give us the foresight to anticipate and ameliorate crises, and to begin tackling some of the most intractable problems of the twenty-first century.